la nuit

Teutates reposa sa plume, satisfait de son travail pour ce soir. Il se leva, va en direction de la porte, l'ouvre et crie:

Sirah, vient!

Un homme, sans âge vient a la porte, un fidèle, un serviteur.

Oui, Sire.


Prépare-moi un repas chaud, comme tu sais bien les faires.


Oui Sire, il se prépare.

Sirah, repartit comme il était venu, en silence, descendi les escaliers
qui menaient aux cuisines, et là donna ses instructions aux cuisiniers.

Teutates ne demandait pas a ses serviteurs les courbettes d'usages dut
a son rang, il estimait que d'être au service d'une personne quelle
qu'elle soit ne doit pas être avalissant. C'est tellement facile, et il
en savait quelque chose. Dans ses registres, il en a pleins d'exemples,
et lui-même vécu un exemple. Il reparti vers son bureau pour prendre un
autre cas a traiter. Il commenca la lecture: trouvé mort au millieu
d'un champs. Nom: Claude. Teutates continua sa lecture, puis fronca les
sourcils et Jura.

Par Chronos!! Et se leva brusquement.

Sirah entra dans la pièce su même instant, s'arrêta net, et les
seviteurs suivants faillirent se téléscoper. Teutates regarda les
serviteurs, les bras chargés de plats fumants.

Ah, c'est toi, mon fidèle, je t'en prie fait!

Sirah, déposa couverts, assiette, verre, cruche de vin, et les plats
chaud sur la table attenante, il voulu faire le service mais Teutatès,
le coupa

Laisse je me débrouillerai. Merci.

Les serviteurs sortirent, fermant la porte doucement derrière eux.

Teutatès se servi, mangea, bu et apprécia le repas . Mais tout en
mangeant il n'arrêtait pas de penser a Taramis qui lui as fait une
blague. Taramis qui est le Dieu des morts lui a refilé un sucidé, et
pourtant il le sait que je m'occupe que des sacrifices. Je vais le lui
renvoyer, Un sucidé, est pour Teutatès , rien, pas un homme ou une
femme ou tout être qui vit sur cette terre qui soit achevé. On ne se
donne pas la mort, sauf si on se sacrifie pour une cause, mais là,
rien, pas de cause défendable. Il sourit dans sa barbe, sacré Taramis!!!

Dès qu'il fini de manger, il rapela Sirah pour débarrasser, et devant
son livre, il effaca le nom Claude et son histoire simplement en
suivant son doit au-dessus des écrits, le leva au-dessus de sa tête,
fit trois tours et le jeta le geste en direction de la fenêtre.
Taramis, le recevra bientôt.

Il regarda la nuit qui tombe, les couleur du ciel qui rougeoient, les
montagnes qui se découpent, les maisons en bas dans la valée, et les
quelques gens qui s'y promènent. Il sortit de son bureau, laissant son
livre ouvert, il sait que personne ne jetera un regard dessus
car........

Il traversa le couloir, poussa une belle porte bien ouvragée, la
referma. Un grand lit lâttendait, il se prépara pour une bonne nuit,
mais soudain, il eu une prémonition, il sourit, une visite, oui, et
elle sera de bonne augure, puis il entra dans son lit, souffla la
bougie, et ferma les yeux.

A qelque part sur cette terre, des sacrifices se firent, des guerres
commencèrent, ou finissaient. Dans le bureau, dans la lumière de la
lune levée, un livre apparu, se posa délicatement sur le bureau, sur
celui qui était déjà ouvert. Il s'ouvrit, et là, des noms commencèrent
a s'inscrirent........